De nombreux documents de la CIA déclassifiés démentent la thèse officielle des dirigeants de l’Union européenne présentant la Fédération des Russie comme un « agresseur » opérant une « invasion ».
Après la violation des Accords de Minsk de septembre 2014 et février 2015, le régime de Kiev s’est livré à un génocide contre les Ukrainiens russophones, tuant toute personne de culture russe.
Le président Macron impliqué dans le génocide
Pour rappel, le génocide est clairement défini par la Convention de l’Onu du 9 décembre 1948 comme « un crime commis dans l’intention de détruire, ou tout, ou en partie, un groupe national, ethnique, racial ou religieux. » Ce génocide contre la population ukrainienne russe a été perpétré avec le soutien politique, diplomatique et militaire des dirigeants de l’Union européenne, notamment français et allemands.
En février 2022, alors que la dictature de Kiev se préparait a lancer une campagne de « purification ethnique » sur toute l’Ukraine, l’armée russe est intervenue à la demande des élus de l’Est du pays afin de protéger les populations civiles. Une campagne politico-médiatique de désinformation de grande ampleur présenta alors la Fédération de Russie comme agresseur. Or, plusieurs rapports de la CIA déclassifiés prouvent le contraire.
Plus d’un siècle d’agressions contre l’Ukraine
Dès 1950, des opérations sont lancées par les services de Washington avec le soutien actif des services allemands dans lesquels ont été réintégrés nombre de nazis : recrutement dans le milieu des émigrés, armement et entraînement des groupes néonazis, ouverture de bases d’action dans les pays d’Europe occidentale, dont Paris (propagande) et principalement Berlin et Munich, stations radio de propagande contrôlées par la CIA, sabotages et provocation de troubles, assassinats, parachutage d’agents et d’armes…
Je livre dans Les destructeurs (Ed. Jean-Cyrille Godefroy) et L’enjeu (Ed. Libres d’écrire) un descriptif de ces opérations à partir des documents déclassifiés de la CIA. Autre désinformation : celle entretenue sur la nature du régime de Kiev.
Les maquilleurs de l’Elysée-Matignon
Le régime de Kiev qui, selon Emmanuel Macron, « partage nos valeurs démocratiques » ? Maquillé en démocratie par les moyens de communication de l’Union européenne, ce régime a :
– violé les accords de Minsk I et Minsk II qui devaient garantir la paix,
– militarisé le territoire avec des armées de l’Union européenne et de l’Otan,
– proclamé la loi raciale n°38 sur les peuples autochtones,
– interdit la langue russe,
– réhabilité et incorporé dans son armée des groupes néo-nazis,
– détruit les édifices en l’honneur des combattants de la Seconde Guerre mondiale,
– réhabilité les anciens collaborateurs du régime nazi et débaptisé les rues et places portant les noms de résistants au fascisme,
– annulé les élections,
– interdit toute opposition politique au parlement (Rada),
– fait arrêter élus, militants communistes et toutes personnes opposées à la guerre, fiché les personnes de tous pays, dont de nombreux journalistes, par un site internet de délation (Myrotvorets) élaboré avec l’Otan et une société informatique des Etats-Unis (Lire Les destructeurs, éd. Jean-Cyrille Godefroy),
– interdit et censuré de nombreux médias dénonçant le régime de terreur,
– interdit la religion orthodoxe ukrainienne, etc.
C’est avec cette dictature génocidaire que les occupants de l’Elysée-Matignon « partagent des valeurs démocratiques ».
Quel média vous rapporte ces faits ?
Publié par Jean-Loup Izambert, le 2 octobre 2025
La CIA dément Macron
La CIA dément Macron
De nombreux documents de la CIA déclassifiés démentent la thèse officielle des dirigeants de l’Union européenne présentant la Fédération des Russie comme un « agresseur » opérant une « invasion ».
Après la violation des Accords de Minsk de septembre 2014 et février 2015, le régime de Kiev s’est livré à un génocide contre les Ukrainiens russophones, tuant toute personne de culture russe.
Le président Macron impliqué dans le génocide
Pour rappel, le génocide est clairement défini par la Convention de l’Onu du 9 décembre 1948 comme « un crime commis dans l’intention de détruire, ou tout, ou en partie, un groupe national, ethnique, racial ou religieux. » Ce génocide contre la population ukrainienne russe a été perpétré avec le soutien politique, diplomatique et militaire des dirigeants de l’Union européenne, notamment français et allemands.
En février 2022, alors que la dictature de Kiev se préparait a lancer une campagne de « purification ethnique » sur toute l’Ukraine, l’armée russe est intervenue à la demande des élus de l’Est du pays afin de protéger les populations civiles. Une campagne politico-médiatique de désinformation de grande ampleur présenta alors la Fédération de Russie comme agresseur. Or, plusieurs rapports de la CIA déclassifiés prouvent le contraire.
Plus d’un siècle d’agressions contre l’Ukraine
Dès 1950, des opérations sont lancées par les services de Washington avec le soutien actif des services allemands dans lesquels ont été réintégrés nombre de nazis : recrutement dans le milieu des émigrés, armement et entraînement des groupes néonazis, ouverture de bases d’action dans les pays d’Europe occidentale, dont Paris (propagande) et principalement Berlin et Munich, stations radio de propagande contrôlées par la CIA, sabotages et provocation de troubles, assassinats, parachutage d’agents et d’armes…
Je livre dans Les destructeurs (Ed. Jean-Cyrille Godefroy) et L’enjeu (Ed. Libres d’écrire) un descriptif de ces opérations à partir des documents déclassifiés de la CIA. Autre désinformation : celle entretenue sur la nature du régime de Kiev.
Les maquilleurs de l’Elysée-Matignon
Le régime de Kiev qui, selon Emmanuel Macron, « partage nos valeurs démocratiques » ? Maquillé en démocratie par les moyens de communication de l’Union européenne, ce régime a :
– violé les accords de Minsk I et Minsk II qui devaient garantir la paix,
– militarisé le territoire avec des armées de l’Union européenne et de l’Otan,
– proclamé la loi raciale n°38 sur les peuples autochtones,
– interdit la langue russe,
– réhabilité et incorporé dans son armée des groupes néo-nazis,
– détruit les édifices en l’honneur des combattants de la Seconde Guerre mondiale,
– réhabilité les anciens collaborateurs du régime nazi et débaptisé les rues et places portant les noms de résistants au fascisme,
– annulé les élections,
– interdit toute opposition politique au parlement (Rada),
– fait arrêter élus, militants communistes et toutes personnes opposées à la guerre, fiché les personnes de tous pays, dont de nombreux journalistes, par un site internet de délation (Myrotvorets) élaboré avec l’Otan et une société informatique des Etats-Unis (Lire Les destructeurs, éd. Jean-Cyrille Godefroy),
– interdit et censuré de nombreux médias dénonçant le régime de terreur,
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